Jazzy Bazz – Memoria Lyrics

 

Memoria Lyrics by Jazzy Bazz

 

Au fil de la nuit
J’revois le film de ma vie
Me sens comme Sergio Leone
Des voix dans mon cerveau résonnent
Des erreurs j’en ai fait plein et j’en referais c’est certain
Y a pas de déserteurs face au destin, tu peux essayer, c’est restreint
Au fil de la nuit (Fil de la nuit)
J’revois le film de ma vie
L’impression que mon âme s’éteint, que mes souvenirs émanent de rien
Ou qu’ils ne sont pas les miens (Dans ce rêve aérien)

On est bon qu’à flairer la thune
Le temps enlève le bonheur aux enfants, pour en faire des adultes
La rage envahit comme des Carolingiens
L’atmosphère est tendue comme aux Source Awards 95
Ça devient dingue
Le pays est à deux doigts d’la guerre civile
Et y a pas grand chose à faire à part appel à l’aide divine
La plupart de mes gars (Ne font pas d’histoire, ne font pas d’histoire)
Selon l’arbitrage, je longe la rive droite
Vu les prix, beaucoup d’parisiens renoncent à vivre à-l
T’as trop menti, on arrête de te croire
J’sors de ma tanière que le soir
J’ai jamais collaboré avec des majors
De quelque manière que ce soit (Ce soit)
Si j’avais fait d’autres choix, j’me demande c’que ça aurait entraîné
Faudrait s’entraider mais on t’porte de l’intérêt qu’une fois mort et enterré
Regarde cette vie et dis-moi si t’y vois un sens
Peu importe sa durée, le plus important c’est que ma vie soit intense
J’fais qu’élaborer des business (Business)
J’laisse évaporer ma tristesse
Jaguar Type S en sixième sur le boîtier de vitesse
Noyé dans l’ivresse

La vie n’est qu’un brouillon donc je rappe que des essais
Cœur noirci jusqu’au poumon mais j’trouve un charme dans l’excès
Au fil de la nuit
J’revois le film de ma vie
Me sens comme Sergio Leone
Des voix dans mon cerveau résonnent
Des erreurs j’en ai fait plein et j’en referais c’est certain
Y a pas de déserteurs face au destin, tu peux essayer, c’est restreint
Au fil de la nuit (Fil de la nuit)
J’revois le film de ma vie (J’revois le film de ma vie)
L’impression que mon âme s’éteint, que mes souvenirs émanent de rien
Ou qu’ils ne sont pas les miens dans ce rêve aérien