Alkpote – Sang chaud Lyrics

 

Paroles de Sang chaud

 

(L’aigle en cage, j’ai l’sang chaud)
(Alkpote)
(Pute, pute, pute)

Tu peux pas mettre l’aigle en cage, enfermer un loup dans l’zoo
Mec je la joue franco, j’compte plus les coups dans l’dos
Là depuis un bout d’temps gros mais j’ai l’air d’un jouvenceau
Tu sais qu’les sous m’rendent beau, j’veux aller tout en haut

Te prends pas pour Rambo, viens faire un tour dans le hall
Y’a de la poudre en bloc, revendue sous l’manteau
En mercedes rouge fantôme, c’est le diable qu’ouvre l’enclos
Au rendez-vous sans fautes, chérie j’ai toujours l’sang chaud

Bande de tin-pus, je ne m’avouerais jamais vaincu
Je ne vous craint plus, c’est moi l’Empereur de la crasserie, le public l’a enfin vu
Dans l’contrat c’est inclu, ma voix sur l’instru, j’repère les intrus
J’leur souhaite la bienvenue, la drogue influ sur mon comportement et sur mes doigts j’ai pleins de glue (du triple F!)

Insultes sur insultes, j’mets des coups d’ceinture, j’vais te dire un truc, je tape l’incruste
J’crache sur ta teinture, les barrettes sont aussi grosses que des putains bâtonnets findus
J’vol sur un nimbus, je récolte le quintuple mais je mérite bien plus

Balafre sur la joue, on a trop de bagout, tu regrettes face à nous, soldat au garde à vous
Y’aura du sang partout, rappelle ton marabout, tu me suces par amour (suce!)

En état d’ébriété devant ces sales abrutis
Le ch’tar, j’l’ai évité, l’91 va te suriner
Le Hash’ est effrité, j’vis la célébrité dans l’insalubrité

Tu peux pas mettre l’aigle en cage, enfermer un loup dans l’zoo
Mec je la joue franco, j’compte plus les coups dans l’dos
Là depuis un bout d’temps gros mais j’ai l’air d’un jouvenceaux
Tu sais qu’les sous m’rendent beau, j’veux aller tout en haut

Te prends pas pour Rambo, viens faire un tour dans l’hall
Y’a de la poudre en bloc, revendue sous l’manteau
En mercedes rouge fantôme, c’est le diable qu’ouvre l’enclos
Au rendez-vous sans fautes, chérie j’ai toujours l’sang chaud

(Pute, pute, pute)

J’ai bien caché toute ma drogue dans son string
J’ai compris, j’compte récupérer tout ce qu’ils m’ont pris
Si dieu veut, je reverrais plus jamais mes comptes vides
Ouai je donnerais jamais le blaze de mes complices

Et en plus je signe des contrats en maison de disque
Avec ces rappeurs y’aura toujours des conflits
T’envoies des pic, mais en face, tu te dégonfles vite
Faut que j’me dé-constipe et qu’j’envoie des bons titres (pute!)

Je visite des villages, j’suis pas là pour leur plaire
J’lis le livre des visages comme Mark Zuckerberg
Accélère dans les virages, on débarque sous leur fenêtres
L’aigle Royal de Carthage ne cherche que la couleur verte

Je viens de la tunisie (touns) comme l’Empereur Emilien (boom)
Je vois tout mais j’dis rien (pouf), je dors au méridien (ouh)
Avec un masque vénitien (bouge!) j’suis un vrai technicien (lourd!)
Le code est égyptien (souffre) comme tout ces reptiliens (wow)

Tu peux pas mettre l’aigle en cage, enfermer un loup dans l’zoo
Mec je la joue franco, j’compte plus les coups dans l’dos
Là depuis un bout d’temps gros mais j’ai l’air d’un jouvenceaux
Tu sais qu’les sous m’rendent beaux, j’veux aller tout en haut

Te prends pas pour Rambo, viens faire un tour dans l’hall
Y’a de la poudre en bloc, revendue sous l’manteau
En mercedes rouge fantôme, c’est le diable qu’ouvre l’enclos
Au rendez-vous sans fautes, chérie j’ai toujours l’sang chaud

Tu peux pas mettre l’aigle en cage, enfermer un loup dans l’zoo
Mec je la joue franco, j’compte plus les coups dans l’dos
Là depuis un bout d’temps gros mais j’ai l’air d’un jouvenceau
Tu sais qu’les sous m’rendent beaux, j’veux aller tout en haut

Te prends pas pour Rambo, viens faire un tour dans l’hall
Y’a de la poudre en bloc, revendue sous l’manteau
En mercedes rouge fantôme, c’est le diable qu’ouvre l’enclos
Au rendez-vous sans fautes, chérie j’ai toujours l’sang chaud

(Pute, pute, pute)

Camo’ vert kakis, je chevauche Pegasus, je ne décapite que les méga putes
Toutes ces gamines s’prennent pour des adultes, le soir elles tapinent tout prêt des arbustes

Je vais droit au but, tu ne m’a pas r’connu (…)